Non, je n’aimais pas les rosés parce que, la plupart du temps, on peine à les différencier tant ils sont peu expressifs.

Non, je n’aimais guère les rosés parce que, trop souvent, on pousse les rendements au détriment de la qualité.

Pourtant, la dégustation du 8 mai 2009 leur a été entièrement consacrée car, s’il existe des rosés de soif, ceux qui envahissent les rayons des grandes surfaces dès les premiers du soleil… il existe aussi des rosés de repas, élaborés avec soin par des vignerons soucieux de la qualité et de l’expression du terroir.

A celles et à ceux qui partagent mes appréhensions, je lance cet appel : ne désespérés pas ! Pour tous les terroirs et toutes les appellations, il y a des vignerons qui produisent des vins qui vous séduiront. Le choix pour cette dégustation du 8 mai en est le témoignage, riche en promesses et en belles découvertes, une dégustation qui a rassemblé des vins élaborés par de fortes personnalités.